Mes dernières lectures


Vous savez quoi? Ceci est le 100ème article que je publie!
Mon rythme de croisière est plutôt d'un par semaine en ce moment.

Vu le titre, vous avez compris que cet article n'a rien d'original....

Oui, encore un article sur mes dernières lectures...
J'aurais dû renommer ce blog "le coin bibliothèque".

En même temps, la période de confinement ne prête pas vraiment aux jolies sorties en extérieur...

J'espère que tout va bien pour vous.

De mon côté, je fais venir la nature à moi en jetant des miettes de pain pour les oiseaux. ((oui, oui, je suis une vraie mamie et j'assume!!!!))

Mais on ne peut décemment pas se lasser des petits oiseaux.

Au programme: un livre coup de foudre et deux que je n'ai pas aimés....



Rendez-vous au Cupcake Café, Jenny Colgan 



J'avais dévoré avant Noël le tome 2 et il m'avait laissé un assez bon souvenir pour que j'ai envie de lire le tome 1 et découvrir les personnages. On suit Izzy qui après s'être faite licenciée décide d'ouvrir sa boutique de cupcake et tombe amoureuse de son banquier.
Je n'ai franchement pas été déçue! Il y avait tous les ingrédients pour faire un bon roman: des personnages hétéroclites sympathiques, une ambiance cosy et girly, des cupcakes, de l'humour, de l'amour. C'est une lecture douce et gentille qui m'a fait du bien.
Je me demandais si je n'allais pas trouvé le livre trop long mais j'ai dévoré chaque page! Il n'y a rien d'original, tout est assez cliché et prévisible. Mais qu'est-ce que c'est agréable!
Je me laisserai bien tenter par "La petite boulangerie du bout du monde" par le même auteur mais je me demande si ce n'est pas un peu similaire.
En cette période de crises et de coronavirus, cette lecture légère et sucré m'a fait passer un excellent moment!
J'ai beaucoup aimé chaque chapitre qui commence par une recette même si certaines recettes m'ont laissé perplexe (surtout la quantité de beurre!).



Dès qu'ils auront remis de la farine au Super U, je tente cette recette!



Le réveil des Sorcières, Stéphanie Janicot, 2020



Le résumé avait tout pour me séduire: la forêt de Brocéliande, les légendes celtes et la sorcellerie. Diane, une guérisseuse meure brutalement dans un accident de voiture. Cet accident en est-il réellement? Mystère. Ses filles se retrouvent seules et la cadette est bien décidée à comprendre ce qui est arrivée à sa mère.

Le nom de Stéphanie Janicot m'avait ramené à ma jeunesse où je dévorais le magazine MUZE (culture/allure/littérature) dont Mme Janicot devient la rédactrice en chef.

En toute honnêteté, je n'ai pas accroché. Oui, c'est bien écrit mais je n'ai jamais réussi à m'attacher aux personnages et à ressentir de la compassion pour eux.
Les changements de narration au début font qu'on a dû mal à bien comprendre le récit.
Je n'ai ressenti aucune émotion pendant ma lecture.
Le tout fini sur un drame familial digne d'une rubrique "fait divers".
Le thème était alléchant mais je n'ai pas adhéré.

Je ne sais pas si cela vient de moi ou du roman. Je n'ai pas dû le lire au bon moment ou il n'était peut-être pas fait pour moi.

L'instant présent, Guillaume Musso, 2015


Je crois que jamais un livre de Musso ne m'aura autant déçu. En même temps, je crois que je préfère ses premiers livres que ses derniers.
Le résumé était alléchant pour moi: un phare mystérieux qui emmène les pauvres âmes qui y pénètrent dans un tourbillon de malheurs: ils ne vivent qu'une journée par an pendant 24 ans.
J'étais contente de renouer avec le côté fantastique et le début m'a vraiment donné envie d'en apprendre plus sur cette malédiction.
Et ensuite, j'ai décroché.
Il tombe amoureux comme ça d'un coup. Aucune émotion. Pof!
Et puis le scénario devient répétitif à travers ses voyages dans le temps: un paragraphe sur son réveil difficile, un autre sur comment retrouver la femme que j'aime, un autre sur les chansons du moment et la vie politique et pouf je repars.
J'attendais la fin avec impatience, espérant comprendre ce mystère et....SPOILER....la fin est complètement....ridicule....On a l'impression d'avoir perdu son temps à lire toute cette longue première partie de plus de 200 pages. La fin semble inutile...ou alors c'est tout le roman qui est inutile? Certes le dénouement est très original, mais je reste sur ma faim, un "tout ça pour ça".
Je suis très déçue!

***
Et vous, avez-vous fait de jolies lectures?
Est-ce qu'un de ces titres vous plairait?








Commentaires

  1. Voila quelques livres qui vous ont déçue, et qui ne m'inspire pas vraiment. Comme je n'ai rien à vous proposer, je vous copie le lien de la news letter de Point de Vue à laquelle je suis abonnée, sait-on jamais ?

    https://us15.campaign-archive.com/?e=0ea05fe4c3&u=53c422970137b8f6755dbeed1&id=9ca371a28d

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    1. Ah oui au niveau de la lecture, les goûts et les couleurs....Merci pour le lien. L'article sur les châteaux "vides" m'a particulièrement intéressé. Toutes ces grandes villes, ces beaux monuments vidés de leur public....On doit pouvoir faire des photos grandioses! Même si les pauvres monuments historiques ont besoin des recettes des visiteurs pour leur survie économique. Prenez soin de vous!

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  2. https://www.pointdevue.fr/culture

    On dirait que je n'avais pas joint le bon lien....
    Qui plus est, Internet marche très mal en ce moment, certainement que la majorité de la population investit les réseaux, à cause du confinement... ;)
    Amitié.

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  3. Bonjour ! Voici ce que je viens de commander sur ebay :
    NOTES DE CHEVET SEI SHONAGON CONNAISSANCE DE L'ORIENT GALLIMARD
    Résumé :
    Dans une traduction extrêmement élégante d'André Beaujard, nous présentons au lecteur français un des plus beaux livres de la littérature japonaise, les Notes de chevet de Sei Shônagon. Composées dans les premières années du XIe siècle, au moment de la plus haute splendeur de la civilisation de Heian, au moment où Kyôto s'appelait Heiankyô, c'est-à-dire " Capitale de la Paix ", par une dame d'honneur, Sei Shônagon, attachée à la princesse Sadako, laquelle, mourut en l'an 1000, les Notes de chevet appartiennent au genre sôshi, c'est-à-dire " écrits intimes ". Avec Les heures oisives de Urabe Kenkô et les Notes de ma cabane de moine de Kamo no Chômei, les Notes de chevet de Sei Shônagon proposent, sous forme de tableaux, de portraits, d'historiettes, de récits, une illustration du Japon sous les Fujiwara. Avec l'auteur du Roman de Genji, Noble Dame Murasaki, Sei Shônagon est une des plus illustres parmi les grands écrivains féminins du Japon. Si l'auteur du Roman de Genji est constamment comparé, dans son pays, à la fleur du prunier, immaculée, blanche, un peu froide, Sei Shônagon est égalée à la fleur rose, plus émouvante, du cerisier. Ceux qui liront, nombreux nous l'espérons pour eux, les Notes de chevet sont assurés de découvrir un des plus beaux livres jamais écrits en langue japonaise, et qu'une introduction et des notes leur permettront de goûter dans le plus intime détail, y compris tous les jeux subtils sur les mots.

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    1. Le résumé est très alléchant! La lecture s'annonce dépaysante et exotique! Parfait pour voyager en cette période de confinement. Je ne connais pas le japonais mais je pense que lu en VO cela doit être exquis! Vous nous direz comment c'était! Bonne lecture!

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    2. Ce n'est pas un livre à lire d'une seule traite. On peut le prendre et le laisser pour le reprendre plus tard, sans aucun ordre, puisque cela va de petites phrases à de petits poèmes ou récits, comme :

      « 18. Choses qui font battre le cœur

      Se laver les cheveux, foire sa toilette, et mettre des habits tout embaumés de parfum. Même quand personne ne vous voit, on se sent heureuse au fond du cœur. »
      Sei Shonagon, notes de chevet.

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