Zéro Déchet de Béa Johnson, mon humble avis, épisode 1, La cuisine
Cela m'a demandé un effort incroyable pour commencer cet article car chaque livre lu est associé à une période de notre vie.
Ce livre, c'est le dernier que j'ai lu quand Maman était encore en vie.
Je me vois, assise sur le canapé, à tourner les pages et à lui partager mes commentaires, mes impressions et Maman assise, des chats sur les genoux, somnolente parfois....fatiguée.....
Il est difficile de pouvoir avoir un avis négatif sur ce livre dans le sens où Béa Johnson arrive à l'exploit de zéro déchet, alors RESPECT.
Petit détail amusant: j'ai acheté ce livre d'occasion et....sans le faire exprès je l'ai acheté en québécois....Ainsi j'ai donc appris que "faire du shopping" se dit "faire du magasinage." Hihihi.
Finalement dans ce livre, ce n'est pas que du zéro déchet, c'est également un style de vie minimaliste que l'auteur prône, puisque dans une certaine mesure, cela va de paire.
D'une façon générale, ce qui m'a le moins convaincu c'est que certes, elle a réduit ses déchets, mais à la base, elle avait un mode de vie d'une riche américaine consumériste donc forcément, la réduction de déchets est plus impressionnante que lorsqu'on a un train de vie plus restreint.
Voici mon avis sur le réalisable, déjà réalisé ou non réalisable sur le premier chapitre "CUISINE".
Les principes fondamentaux, squelette du livre sont: refuser, réduire, réutiliser, recycler et composter.
Mes placards sont assez vides (2 verts, 6 fourchettes, 1 poêle, 1 casserole....) Je ne peux pas réduire davantage. Déménager souvent, ça aide à faire le tri. C'est vrai que j'ai quelques moules de cuisine, mais c'est vraiment important pour moi. Donc je les garde. Basta! J'adore également la belle vaisselle de grand-mère et si je trouve des assiettes isolées sur un vide-grenier en métropole je les achète. Même si cela peut encombrer les placards, cela reste un objet d'occasion.
J'essaie de réduire les produits emballés mais je pense que je peux vraiment beaucoup faire mieux (notamment en choisissant mieux mes thés et tisanes!). Je fais beaucoup de choses maison (compote, pâte à tarte....etc). Je n'achète pas de gâteaux industriels car je les fais moi-même. Dans la mesure du possible, j'essaie de choisir des contenants recyclables....
Exit le papier essuie-tout et bonjour le torchon de mamie.
Je n'ai jamais de "reste" à jeter car je fais tout en petite quantité (pour les recettes "test") ou en grande quantité pour la semaine donc rien ne finit à la poubelle. Et s'il me reste quelques grains de riz secs, je les donne aux oiseaux!
Je voue un culte à ma "bombasse de gourdasse" comme je l'appelle (ma gourde, pour les non initiés) pour boire la journée au travail ou lors de sorties.
En métropole, j'ai quelques réserves car j'ai eu de mauvaises surprises par le passé: aliments stockés dans le magasin dans des containers transparents en plastique au soleil....Et à cause d'un débit pas assez important, les produits manquaient de fraîcheur....Peut-être que puisque c'est à la mode maintenant, ce sera plus facile.
Composter....dans un appartement, cela me semble difficile et avec la chaleur en Guyane, je n'ai pas envie d'attirer davantage de bêtes....
Les éponges...ben c'est pratique!!! Mais je ne désespère pas à l'idée d'en faire une!!!
Pour faire mes fondants dans des cercles à pâtisserie, je n'ai pas trouvé d'autres solutions que le papier cuisson....sinon, la pâte ben...elle part!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ce livre, c'est le dernier que j'ai lu quand Maman était encore en vie.
Je me vois, assise sur le canapé, à tourner les pages et à lui partager mes commentaires, mes impressions et Maman assise, des chats sur les genoux, somnolente parfois....fatiguée.....
Il est difficile de pouvoir avoir un avis négatif sur ce livre dans le sens où Béa Johnson arrive à l'exploit de zéro déchet, alors RESPECT.
Petit détail amusant: j'ai acheté ce livre d'occasion et....sans le faire exprès je l'ai acheté en québécois....Ainsi j'ai donc appris que "faire du shopping" se dit "faire du magasinage." Hihihi.
Finalement dans ce livre, ce n'est pas que du zéro déchet, c'est également un style de vie minimaliste que l'auteur prône, puisque dans une certaine mesure, cela va de paire.
D'une façon générale, ce qui m'a le moins convaincu c'est que certes, elle a réduit ses déchets, mais à la base, elle avait un mode de vie d'une riche américaine consumériste donc forcément, la réduction de déchets est plus impressionnante que lorsqu'on a un train de vie plus restreint.
Voici mon avis sur le réalisable, déjà réalisé ou non réalisable sur le premier chapitre "CUISINE".
Les principes fondamentaux, squelette du livre sont: refuser, réduire, réutiliser, recycler et composter.
La cuisine et les provisions
Ce que je fais déjà...:
Aucune vaisselle d'inutile: Je ne me suis pas spécialement reconnue dans le descriptif de la cuisine typique avec plusieurs maniques, des gadgets inutiles (genre tranche banane!).Mes placards sont assez vides (2 verts, 6 fourchettes, 1 poêle, 1 casserole....) Je ne peux pas réduire davantage. Déménager souvent, ça aide à faire le tri. C'est vrai que j'ai quelques moules de cuisine, mais c'est vraiment important pour moi. Donc je les garde. Basta! J'adore également la belle vaisselle de grand-mère et si je trouve des assiettes isolées sur un vide-grenier en métropole je les achète. Même si cela peut encombrer les placards, cela reste un objet d'occasion.
J'essaie de réduire les produits emballés mais je pense que je peux vraiment beaucoup faire mieux (notamment en choisissant mieux mes thés et tisanes!). Je fais beaucoup de choses maison (compote, pâte à tarte....etc). Je n'achète pas de gâteaux industriels car je les fais moi-même. Dans la mesure du possible, j'essaie de choisir des contenants recyclables....
Exit le papier essuie-tout et bonjour le torchon de mamie.
Je n'ai jamais de "reste" à jeter car je fais tout en petite quantité (pour les recettes "test") ou en grande quantité pour la semaine donc rien ne finit à la poubelle. Et s'il me reste quelques grains de riz secs, je les donne aux oiseaux!
Je voue un culte à ma "bombasse de gourdasse" comme je l'appelle (ma gourde, pour les non initiés) pour boire la journée au travail ou lors de sorties.
Ce que je vais tenter de faire ou les bonnes idées auxquelles je n'avais pas pensé:
- Utiliser une taie d'oreiller propre pour acheter son pain chez le boulanger (mais pour l'instant, je l'achète au Super U et il est entouré d'une vilaine proche en plastique)
- Utiliser des filets de lavage, par exemple, pour acheter ses légumes (plutôt que des poches plastiques du rayon, même si maintenant elles sont en recyclables).
- Remplacer progressivement mes tupperware en plastique par des bocaux en verre.
Ce que je ne ferai pas...(pour l'instant):
Impossible d'acheter en vrac en Guyane, tout simplement!En métropole, j'ai quelques réserves car j'ai eu de mauvaises surprises par le passé: aliments stockés dans le magasin dans des containers transparents en plastique au soleil....Et à cause d'un débit pas assez important, les produits manquaient de fraîcheur....Peut-être que puisque c'est à la mode maintenant, ce sera plus facile.
Composter....dans un appartement, cela me semble difficile et avec la chaleur en Guyane, je n'ai pas envie d'attirer davantage de bêtes....
Les éponges...ben c'est pratique!!! Mais je ne désespère pas à l'idée d'en faire une!!!
Pour faire mes fondants dans des cercles à pâtisserie, je n'ai pas trouvé d'autres solutions que le papier cuisson....sinon, la pâte ben...elle part!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Et vous, votre cuisine, elle ressemble à quoi?
Faites-vous 30 km pour acheter du riz en vrac?
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